Si vous preniez la peine de lire TOUS les articles, vous verriez bien que ce n’est pas le cas.
====================================
@La Voix De Ton Maître
Je vous recommande de lire l’article de Chems Eddine Chitour, paru hier sur ce site, qui est très instructif. Une disposition infâme d’AgoraVox lui permet de m’interdire tout commentaire, ce qui est un moyen bien pratique, mais particulièrement lâche et débile, de se donner l’illusion qu’on sera approuvé au moins par plusieurs. Les pires en l’occurence.
Il a le culot de mettre le même plan l’islamophobie et l’antisionisme.
Finkielkraut est insulté, et par des islamistes, mais ce sont les Arabe en France qui sont les premières victimes. On avait déjà connu ça après les grands attentats commis par des islamistes : les « premières victimes » étaient les pauvres musulmans français qu’on allait montrer du doigt alors qu’ils n’y étaient pour rien. La preuve, c’est qu’ils ne réagissaient même pas, ne songeaient même pas à protester. Au reste, ils n’avaient pas même lieu de le faire, puisque leur religion était une religion « d’amour et de paix ».
C’est se foutre gravement du monde et prendre les lecteurs pour des cons. L’islam tue partout, même des musulmans, et en pareil cas la peur (phobie) d’entendre un jour crier derrière soi « Allah akbar » est parfaitement normale comme est parfaitement légitime la critique d’une idéologie qui préconise le meurtre. La « religion d’amour et de paix », par son Coran, prescrit en plusieurs endroits (IX,5) en particulier, de refroidir les mécraénts. Tonner contre une religion, ce que je fais constamment, c’est vouloir la disparition de textes criminogènes, ce n’est pas vouloir la mort d’un peuple.
L’antisionisme veut la disparition d’israël et donc celle des Juifs. Au supposer qu’ils aient tous disparu en Israël (mais c’est un fantasme aussi con que les ambitions criminelles d’Adolf Hitler), restera à régler le compte de ceux d’une nouvelle diaspora qu’on accueillera en Europe aux cris de « Mort aux Juifs », comme à Sarcelles : les croix gammées sur les murs de Paris, sur les tombes des cimetières, seraient-elles de bon augure ?
Face à ce délire collectif gravissime, un certain nombre d’enfoirés feignent -quand ils ne sont pas carrément complices -de ne pas voir le danger, font le choix criminel de venir au secours des pogromistes au nom de la liberté d’expression. Depuis quand l’apologie de l’assassinat pourrait-elle avoir droit de cité dans une démocratie ? On avait vu ça dans le totalitarisme nazi. On y revient ?