« Quelle ironie du sort ! La Grèce qui a donné son nom à l’Europe, se retrouve, maintenant, menacée et acculée par les instances européennes ! »
... et nommé pour ces mérites très alcoolique président de la Commission €uropéenne, c’est bien le grand ordonnateur luxembourgeois de l’évasion et des fraudes fiscales €uropéennes des multinationales qui fixe au berceau historique de la Démocratie et au peuple qui l’a inventée les limites €uropéennes à son exercice : « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités €uropéens. »
Quant au très immature giton de Rothschild, on peut imaginer que l’option de sa « com » pour une présidence jupitérienne permet d’éviter les références « tout à la fois » aux standards de vie et de confort déjà imposés au peuple grec - électoralement de fort mauvais aloi pour illustrer le sort pourtant déjà dévolu aux peuples de France et de l’ensemble de l’€urope - et à ces attributs virils « zeussiens » dont il paraît si peu pourvu !
Mais quand, à l’instar de la France, la belle Europe se pare progressivement de jaune, séduire ne suffit manifestement plus !

Attention à ne pas tout confondre ! Si l’Europe est un continent, les peuples, nations et cultures qui y vivent et l’enrichissent, l’€urope n’est jamais que la structure technocratique et mondialiste mise en place par les lobbies industriels et financiers pour « optimiser » son pillage et asservir les populations sous sa botte !