Merci pour le
petit mot et ces précisions. Agacé depuis de nombreuses années, aujourd’hui en
colère, J’ai entrepris des démarches dont je ne sais si je les mènerai à terme…
Don Quichotte, oui, mais jusqu’où… ? N’étant pas féru en droit, j’ai
récemment eu une entrevue avec un conciliateur de justice, lequel m’a orienté
vers un conseiller juridique qui s’est révélé ne traiter que des conflits de
droit public. La prochaine étape est donc de prendre rendez-vous avec un avocat
à Limoges (je suis de la région) pour qu’il me dise si dans ce que je dénonce
il est possible d’enfoncer quelques coins... 2 personnes sont à l’origine de la
création de la SACEM et 1 seule à celle de l’ADAMI... Est-il encore possible
dans le monde du 21° siècle qu’une personne puisse faire reconnaître via la
justice des droits bafoués et plus, en faire obtenir au nom de discriminations...
Je suis de ceux qui veulent croire que l’institution justice reste bien cet
organisme indépendant du pouvoir, garant du respect des lois que la démocratie
enfante. Si tel n’est pas le cas, je suis inquiet au motif que je ne crois pas
que les démocraties modernes puissent faire l’économie d’un minimum d’équité à
venir. J’ai cette certitude que la cohésion sociale indispensable à leur
fonctionnement n’y survivra pas. Peut-être l’avocat que vous êtes peut-il apporter
réponse à mon questionnement ? Mais peut-être n’avez-vous pas pris connaissance
de mon article dans le détail, dans lequel je fais apparaître de légitimes demandes dont
je sais par avance qu’elles vont faire s’étrangler les « puissants ».
Bien cordialement. JC Ribano.