Les Suisses préfèrent l’argent à tout autre chose... ils sont la
plaque tournante du crime anti-humain mondial avec leur banques...
alors, je crois que ça les dérange pas tellement d’avoir des femmes
voilées dans leurs rues, surtout si elles sont riches...
je pense que les crimes financés par les suisses sur la planète par
la complicité volontaire de leur lois, sont bien pire que ces « petits
nikabs »... dans un tel pays, on n’est pas à ça près...
Je vis en Suisse depuis 20 ans. Je suis français, j’ai pris la nationalité suisse, plus par jeu que par conviction, J’adhère profondément à votre vision politique.
La Suisse est d’évidence, l’un des pays où le capitalisme à domination réelle est le plus abouti. Cela signifie que la vraie démocratie, jadis athénienne, de Solon et Clisthène, est ici rutilante d’inhumanité. C’est la dictature de la société marchande, c’est à dire la forme la plus élaborée et sournoise de la démocratie.
De ce point de vue, pour revenir synthétiquement au sujet proposé, le voile est une aliénation de la femme, une provocation évidente, une manière pour le capital d’ajouter à l’immigration, au mondialisme de la marchandise, au terrorisme, à la guerre, une arme supplémentaire pour cultiver le chaos et l’aliénation, la crétinerie des hommes esclaves devenus..
Il se trouve que les paysans du Valais, auquel j’appartiens au fond de moi, portent idéalement en eux la vision de la communauté de l’être en respect pour leurs sommets intemporels et la lointaine radicalité de leurs ancêtres nordiques du lac des quatre canton.
De plus, paradoxalement, la communauté de l’être de germains et scandinaves archaïques est très prégnante, sans doute parce que la nature montagneuse est puissante et qu’elle sensibilise les hommes épris d’histoire, de philosophie, ou simplement de réalités immanentes. La dialectique nous crie la fin de toute chose, même du monstre capitaliste...d’ailleurs il est moribond !
Je vous l’accorde hélas, ce sera difficile de trouver la lumière véritable.