@Konyl
32 000 Gilets Jaunis, 0,04 % de la population, a aucun moment on peut parler de raz de marré, une goute d’eau oui.
Ce mouvement est encore soutenu par 70% de la population. Les 32000 et le cortège de bordel qui va avec n’est que la partie visible d’un large mouvement de défiance envers l’état et les institutions.
Macron s’accroche à ses réformes, car il pense à tort qu’en les mettant en application il conservera le soutien d’une nomenklatura financière qui l’a mis où il est. Cette nomenklatura n’exige qu’une seule chose : le calme et la mise sous contrôle d’une population. ce qui a aujourd’hui est trés loin d’être le cas. Elle a donc abandonné ce Macron qui se retrouve seul à gérer la situation.
Revenons aux « dégradations et pillages »
Lorsqu’une inondation détruit tout sur son passage, on se dit que c’est malheureux pour ces pauvres gens qui ont tout perdu. On peut aussi être scandalisé par la disparition des zones humides qui faisaient tampon à ses inondations, il n’en reste pas moins que pour ces personnes, c’est la faute à pas de chance (mauvais endroit, mauvais moment).
Lorsqu’après 4 mois de manifestations hebdomadaires, rien ne bouge, alors que les revendications des gilets jaunes sont connus de tous (RIC, ISF, salaires), cela veut dire que le pouvoir en place ne cherche pas l’apaisement. Et les dernières mesures (drone, marqueur ADN, lois liberticides) le prouvent. le responsable de ces saccages est donc tout trouvé !