Pour toutes ces raisons,
Ce
jour, 26 janvier 2019, ce Conseil National de Transition proclame la création d’une police
chargée de défendre la juste loi, et donc le peuple de France, contre les
nervis des despotes illégitimement au pouvoir.
CONDITIONS
Les manifestations du peuple français révolté contre l’injustice et désireux de rétablir un véritable état de droit
vont en s’amplifiant depuis leur commencement chaque samedi depuis le
mois de novembre 2018. Elles se soldent par des milliers d’arrestations
arbitraires, autant de « gardes à vue », de condamnations judiciaires
illicites, mais aussi de membres arrachés et d’yeux crevés, laissant des
Français handicapés pour la vie alors qu’ils exerçaient leur droit
légitime.
En ce
mois de janvier 2019, les manifestations ont augmenté d’intensité, et
proportionnellement, la violence exercée contre les manifestants prend
des proportions de « guerre civile ».
Cette
situation force à l’urgence de créer une police légitime pour protéger
les Français contre les mercenaires de la république.
Le
Conseil de Transition appelle donc les volontaires à constituer une
force de loi sous l’égide de la Cour Suprême, chargée d’assurer la
sécurité des Français lors des manifestations.
Ces
volontaires auront aussi pour mission d’assister physiquement les
associations de défense de l’enfance luttant contre les réseaux
pédocriminels et les institutions étatiques qui les alimentent. Ils
auront aussi un rôle d’assistance pour aider les personnes en détresse
assistées par les « ronds-points du coeur », (un concept nouveau lancé par
Jérôme C. (gilet jaune) et Jean-Michel S. (membre de la Cour Suprême).
Enfin,
ces volontaires, s’ils le désirent, participeront à l’opération de
Transition en s’intégrant dans la commission « Audit » qui commencera son
activité dès l’intronisation du CNT en enquêtant sur tous les rouages de
l’état et les malversations économiques menées par la franc-maçonnerie
au niveau national.
Jusqu’à
l’intronisation de ce Conseil de Transition, ces volontaires agiront
sous le régime d’un salaire net de 2000 euros mensuels qui ne seront
effectivement versés qu’après l’intronisation du CNT. Leurs conditions
pour participer à la commission « Audit » par la suite seront déterminées
par le Conseil en place.
Source:https://neo-pol.blogspot.com/