Jusqu’au jour où on découvre qu’en fait toutes nos observations de l’univers se font à travers la « bulle énergétique et vibratoire » du système solaire, qui soit dit en passant est en mouvement autour du centre galactique, et donc qu’en fait en dehors de cette « bulle », tout ce que nous considérions comme des « lois » est régit différemment, ou tout simplement les « constantes » que nous nommions comme telles ne sont en fait en rien « constantes ». (Sauf les constantes mathématiques).
Que nos observations de l’univers passent déjà par un prisme que nous pensions parfaitement transparent, mais qui en fait déforme nos observations de l’univers comme un kaléidoscope déforme la lumière qui passe à travers lui !
Quelles sont les informations qui nous échappent ? Quelles sont les informations que nous pensons « vrais » universellement mais qui ne le sont que localement ? Déjà, nous avons eu l’expérience de ce genre de désillusion, prenez l’idée géocentrique qui a prit tenue tellement face à l’héliocentrisme, ou encore notre expérience de la masse, dépendante de notre planète, et notre quasi surprise de découvrir que sur un autre astre, cette masse est tellement faible que nous sommes capables de faire des bonds de plusieurs mètres ! (et que parfois il se peut que nous restions écrasés au sol sans pouvoir nous relever !)
Alors extraire de nos observations « terrestro-centrées » des lois se disant universelles, personnellement, je n’y crois pas trop tant que nous n’aurons pas visiter un peu plus l’univers que les quelques zones environnantes de notre planète / système solaire. Nous pouvons spéculer, trouver des lois utiles pour nos besoins, car finalement ce qui fonctionne dans notre « bulle » ça fonctionne bien selon des lois locales, donc c’est utile de savoir comment : mais pour prendre l’exemple de la vitesse de la lumière, euh désolé mais au final, nous ne pouvons être sûr de rien, car il se peut que cette vitesse soit grandement dépendante du milieu dans lequel elle évolue et que nous ne puissions pas le vérifier à l’heure actuelle car, persuadé que ce que nous observons représente la réalité, nous ne faisons qu’observer par le bout d’une lorgnette déformante.