@Fergus

« Mais sans doute cela vous importe-t-il peu... »

VIolence à mon égard intolérable. Nier (sans doute) mon humanité ! 

Voila ce qui advient quand les mots perdent leur sens, quand les souffrances sont aplanies sous un même lexique. 

En espérant que cette petite boutade vous redonne le sens des mesures, et le sens du choix des mots.adaptés. C’est tellement contemporain de tout niveler, de tout égaliser, et tellement dévastateur. 

Cela a tourné au conflit modéré mais c’est devenu un conflit sous l’autisme et l’impéritie de ce tout petit président.

Il faut des soupapes pour éviter certaines escalades, et il en existe peu pour les GJs pris au jeu du tir aux pigeons.

Vous réagissez comme les médias sur des émotions sélectives, mais c’est le contexte entier qui doit être pris en compte.

Toutes les souffrances doivent être prises en compte notamment celles qui n’ont pas de tribunes.

La psychopathie autistique de ce petit président est le seul danger. Les forces de l’ordre s’épuisent et perçoivent l’aberration de leur rôle dévoyé. Prise de conscience que redoute le petit président d’où la campagne disproportionnée pour éviter la sape morale des troupes.

Car ce message dit plus « regardez vous » qu’une véritable invite au suicide, bien sûr.

Et je pense sincèrement qu’ils sont très nombreux à ressentir le besoin d’un point introspectif, ils ne sont pas de plomb.

Une véritable négociation est devenue indispensable, seule issue pour éteindre le conflit, et éviter des surenchères bien plus douloureuses qui ne sauraient tarder.

La rigidité présidentielle, et c’est un euphémisme, car apparemment pathologique, s’y oppose, et ce qui peut la contraindre est un moindre mal.

Pourquoi ne pas incliner à un arrêt du mouvement des GJs ? Simplement parce je n’y crois pas, ils ont payé un prix trop fort et pour cela ils ne renonceront pas.

Triste conséquence de l’impéritie présidentielle, qui est désormais plus près du ça casse que du ça passe. 

Et hélas vous pourriez bien être en rupture lexicale dans la qualification des prochains événements pour en avoir abusé. prématurément.