@Eric F
Effectivement, il y a une erreur de formulation, ici, car la revendication ne porte que sur le volet « contributions sociales », actuellement limitées à 17,2% sur les 30% de la flat tax...
Mais on la retrouve sous une autre forme, dans votre propos :
-les cotisations sociales sur les revenus fonciers et financiers sont
de 17,2%, car outre la CSG il y a la CRDS et le prélèvement de
solidarité
La « flat tax » est un prélèvement unique institué par Macron sur les
revenus financiers, fixée à 30%, se substituant à l’IR progressif et
aux cotisations sociales.
>>> En réalité, sur les 30% il n’y a que 9,7% (CSG+CRDS), qui sont véritablement des cotisations sociales, et non pas 17,2%, car cela inclus l’impôt dit de « solidarité » qui va dans le budget de l’Etat, tout comme l’IR, et non dans les caisses de la sécu !
"A compter du 1er janvier 2019, un prélèvement de solidarité sur les revenus du patrimoine et les produits de placement au taux de 7,50% est
instauré. L’assiette du prélèvement est identique à celle de la CSG
sans qu’il soit toutefois possible d’y échapper pour les non-résidents. Le
produit du prélèvement est par ailleurs affecté au budget de l’Etat, et
non à celui de la sécurité sociale, comme la CSG et la CRDS. »
( __7 https://www.cbanque.com/placement/cotisations-sociales.php )
>>>d’où le principe, même si mal formulé, de rediriger 20%, sur les 30, soit les deux tiers, entièrement vers le financement de la sécu.
>>>ce n’est plus la « flat tax », le nom n’aurait évidemment pas du apparaitre à nouveau, ici, mais bien "une CONTRIBUTION SOCIALE SPÉCIFIQUE SUR
LES REVENUS DU CAPITAL, à hauteur de 20%, entièrement reversée au budget
de la Sécurité Sociale, " point barre, en fait, car elle ne supprime évidemment pas l’impôt sur le revenu du capital (12,8% actuellement)
>>>cet impôt reste donc effectivement à redéfinir, dans cette transformation.
Luniterre