@Christian Labrune
Feriez mieux d’étudier l’histoire des vaccins.
Dans les années 70, il y avait 840,000 cas de rougeole en France, toutes avant 10 ans. C’était, selon « le concours médical », une des maladies les plus bénignes de l’enfant. Tous les enfants atteints (dont moi-même, évidemment) étaient immunisés à vie.
Un an avant l’apparition du vaccin, ce chiffre était tombé à 3000. Il serait tombé à zéro tout naturellement : c’est le sort de toutes les épidémies.
Aujourd’hui, on gueule comme des putois parce qu’on en dénombre péniblement 500 (dont près de 50% après 20 ans ou avant 1 an, des âges où la maladie est plus dangereuse, ce qui est le résultat de la vaccination).
Celle-ci sélectionne de plus des variétés virales plus dangereuses, et contre lesquelles les vaccinés sont impuissants à se défendre.
Quant à votre chiffre de 95% nécessaires, c’est une pure spéculation, aux dires mêmes de celui qui en a lancé l’idée, qui ne correspond à aucun donnée scientifique.
a 6’20"
Le Pr Raoult explique ensuite qu’un mort annuel par rougeole contre 20,000 par la grippe représente une aberration dans les priorités et les urgences.
A propos, le vieux con que vous êtes est-il vacciné contre la rougeole ? Faites au moins ça, par civisme, parce que pour la connerie il n’y a pas de vaccin.
Et puis lisez cet article, dont je vous livre cet extrait :
Car en Afrique, et plus précisément en Guinée Bissau, il existe des zones où les enfants ne sont pas vaccinés, faute de moyens pour mener à bien les campagnes.
Les scientifiques ont comparé différents groupes d’enfants :
- Le premier groupe était constitué d’enfants bien nourris et vaccinés ;
- Le deuxième groupe était constitué d’enfants mal nourris et non vaccinés.
La dernière étude porte sur des enfants entre 6 et 35 mois. Elle confirme les données des études précédentes qui portaient sur des enfants de 3 à 5 mois (2).
Ils ont comparé le taux de mortalité.
Il était deux fois plus élevé chez le groupe des enfants vaccinés !
Cela veut dire qu’il y avait 100% d’enfants morts en plus dans le groupe des enfants vaccinés.
Mais surtout, ne vous posez pas de questions : la vaccination, ça ne se discute pas...