@Aita Pea Pea
A l’époque du pignon fixe, les dérailleurs étaient vus comme un luxe. Ne parlons pas des double et triple plateau, réservés aux vélos de course, des engins qui provoquaientt des attroupements. On comptait les vitesses, ahuris. Ne parlons pas des motos, dont on regardait le compteur, sur la pointe des pieds.
La B.B Peugeot déjà fascinait, c’est dire. Les gars mettaient pleins de drapeaux et de rétroviseurs, et des sièges effrangés, parfois leopard.
50 après, c’est le pignon fixe qui fait un malheur. Le luxe, c’est d’avoir ce que les autres non pas.