@alinea
Bonjour Alinéa,
C’est tout à fait cela. C’est agréable parfois de se sentir compris ici car pour ma part ce n’est pas souvent le cas. Mon côté objectiviste me pousse toujours à penser et agir avec ce dont je dispose et non avec ce dont je pourrais disposer si j’avais ci ou si j’avais ça, et petit à petit avancer par petits pas... C’est il me semble le problème de bcp d’individus, l’idéologie prenant l’ascendant, ne font qu’attendre que leurs conditions de vie s’améliorent à travers des dispositions politiques, ou par un geste supplémentaire des « autres ». C’est navrant car de toute façon cette solution ne peut fonctionner pour tout le monde dans la mesure où notre forme de démocratie fait qu’à chaque tour, une grande partie des citoyens n’entreront pas dans le champ des dispositions favorables à leurs conditions !!!
C’est pour moi une forme de faiblesse, et je suis convaincue pourtant que chacun à en lui cette force qui permet de « faire le pas ». Et effectivement ce n’est pas aisé, mais qui a dit que le vie était facile ?
Prétendre que la société a le de voir de fournir un travail, un toit, une vie radieuse à tout individu naissant, relève d’une maladie mentale avancée !!! Aujourd’hui si l’on observe le décor c’est même l’inverse car chaque individu qui naît a déjà une dette de 35000 euros, et cela de par la bêtise abyssale d’une génération totalement irresponsable, ayant dépensé pendant 50 ans un argent n’existant même pas et dont l’activité génératrice n’existera même peut être jamais !!! Cette même génération aura même (cerise sur le gâteau) laissé une véritable poubelle dont nos descendants, s’ils n’en crèvent pas, n’en sauront que faire !!!
Alors la question aujourd’hui se résume à se demander si l’on doit poursuivre ce schéma destructeur ou bien se ressaisir et donner d’autres valeurs à nos enfants ; la force de s’en sortir ou bien s’enfoncer dans cette fosse à merde en attendant que se réalisent les belles promesses de nos psychopathes dirigeants.
A chacun de voir, moi j’ai tranché et même si je n’ai pas aujourd’hui les revenus que j’avais quand j’étais salariées, je dispose d’une richesse dont la valeur ne se mesure pas ; la li-ber-té, et je n’ai pas attendu un pantin de l’Elysée ou de Matignon, ni même un « pauvre » syndicat pour l’obtenir...