@Cadoudal
re 
a propos de ton article de bhl
"... Il faut qu’il comprenne le désespoir de l’auteur face à la montée du
populisme et au délitement de l’Europe, son envie de tout envoyer « au bain », à commencer par lui-même.
«
Dit le type qui à généré des guerres dans le monde.
Je passe sur le reste...
Qu’il se noie !
Quand à son public, aussi décérébrét que lui , je cite 
»...« Mais… Vous avez un micro attaché à votre chemise… S’il y a contact
avec l’eau… Il y a eu des précédents qui se sont mal terminés… »
plaide son interlocutrice pensant très fort à Claude François.
Derrierre un micro classique, il y a au mieux :
— un ampli hf/vhf qui fonctionne en tbt (bref sur piles)
— Un fil qui va a un préampli ou c’est qq milli volts au pire (la polarisation du 1er transistor de preamp pour les experts, ou l’entré du ci d’amplification qui est en général en haute impédance)
on peut par sécuité absolue placer le montage sous un différenciel ou coupleur optique ou encore symétriseur.
Il existe qq micros (mais pas dans le cadre de cette utilisation) possédant des alims dite « fantome » en 48v mais en intensité infidécimale (que dalle)
Bref le seul truc qui craint c’est pour le micro, épicétou !
et il existe des micros étanches de plus.
Bref du très haut vol !