@écologie réaliste
*c’est l’augmentation qui ralentit, mais la population continue à augmenter encore.*
C’est exactement ce que je dis
Mais regardez les tendances par vous même depuis les années 50 et faite une projection, vous comprendrez tout seul que « l’augmentation » arrive sur un plateau pour entamer bientôt un déclin et ce déclin n’est pas pour dans plusieurs siècle.
D’éventuel problème d’augmentation de production suivent ceux de la population mondial, visiblement notre population augmentera encore de 15% avant d’entamer un déclin.
Mais certain ne tiennent pas compte du fait que la pollution qui a déjà commencé son déclin est la population la plus consommatrice des ressources, donc les déclins de la demande vont chuter avant ceux de la population mondiale.
*Il faut donc produire plus avec moins de terre, c’est mécanique.*
Il faut regardez plusieurs facteurs, les surfaces cultivables et exploitable, les surfaces réellement exploités, les nouvelles surfaces exploitable, les surfaces abandonnés, les surfaces définitivement perdu (exemple : bétonnage, pollution)
Actuellement avec nos 7 Milliards d’habitants nos surfaces réellement exploités suffisent à tous nous nourrir et si on regarde les surfaces cultivables et exploitable les experts estiment qu’on peut aujourd’hui nourrir 15 Milliard d’habitant, sans aucun changement.
Les surfaces définitivement perdu sont vraiment minime face aux nouvelles surfaces qu’on va exploiter et aux surfaces qu’on abandonne bêtement pour des motifs économiques.
En terme de surface nous avons les 2/3 de notre globe qui est recourt d’eau et qu’on exploite pas, mais rien ne nous empêche de l’envisager un jour.
*Auriez-vous des exemples qu’on aurait abandonné des terres cultivables en Amérique du Sud, en Afrique, en Asie ?*
Non comme dit précédemment, on abandonne des zones cultivable pour aller en chercher d’autres plus rentable, économiquement parlant.
Mais j’ai des exemples en France comme l’utilisation du Bas-Rhone qui est très loin de son usage passé et de ses capacités car les exploitations Fruitière sont abandonnés aux profits des importations.
Bref on est capable de produire des Fruits chez nous mais on abandonne nos exploitation pour aller les produire ailleurs.
Notre problème est de l’ordre de la gestion des ressources et non de limitation des capacités.