L’évocation de ce livre m’a fait pensé au bouquin de François Augiéras, « Domme ou l’essai d’occupation » et dans une moindre mesure au « Selon Vincent » de Christian Garcin.
J’ai bien peur que les traitements modernes de la psychiatrie ne nous privent de quelques bons auteurs, stérilisés par la chimie, injectée avec les meilleures intentions humanistes qu’ils soient, sous le vernis du progrès.
Quelle serait la production d’un Nerval ou d’un Artaud aujourd’hui ?
Je me souviens dans quel état m’avait laissé « Le Horla », lu trop jeune...