On remarquera que personne des têtes médiatiques des Gilets
Jaunes ne subira la « question ». Seul, E. Chouard. C’est
bien la preuve qu’il dérange FONDAMENTALEMENT le système. C’est
une façon sournoise de l’éliminer du débat public, car ce qu’il
prône avec le RIC en toutes matières ne va absolument pas dans le
sens et les intérêts des ploutocrates.
La Démocratie, la vraie, et non les entourloupes actuelles du
système qu’ils osent nommer système démocratique avec l’arnaque
continue des élections truquées, eh bien, le système la redoute
comme l’ail, les vampires.
Le supposé « fascisme » de Chouard, qui n’existe
que dans la pauvre tête rétrécie des journaleux de service n’est
pas en soi ce qui intéresse le plus ces soutiers du système,
Ce qui les affole, c’est l’aura du bonhomme, sa virtuosité
pour exposer en quelques phrases les bases d’un système
démocratique totalement opposé à la ploutocratie, et, qui
communique au peuple un formidable espoir de lendemain.
Ce qui les inquiète, c’est l’adhésion de plus en plus large
à ses idées réellement rafraîchissantes dans le concert nauséeux
et disons-le tout court nauséabond de la pensée unique.
Lorsque nous voyons ces journaleux de service soit doucereux, soit
éructant en hystérisant la « question », et en tournant
le couteau médiatique dans le lard de Chouard, nous ressentons, les
plus sensibles à l’esprit de concorde et de justice, comme une
vague asphyxiante, une sorte d’haleine médiatique méphitique de ces
petits Torquemada sans talent mais réellement malveillants envers le
pauvre Chouard.
Les éructations et la réelle dégueulasserie de ces procès en
sorcellerie, nous laissent de la France actuelle une impression
déplorable, en voyant ce sinistre cortège qui s’avance pour
juger, pour défoncer, pour démolir la réputation d’hommes et de
femmes de bien. C’est l’amorce d’une époque noire, très noire.
Le fascisme, disent-ils ? Mais ce sont eux, avec leur doigt
constamment pointé sur les accusés, en petits commissaires du
peuple. Que l’on se rappelle les procès de Prague ou de Moscou, où
quoique répondissent les « accusés », les accusateurs
revenaient toujours sur la « question » pour les
condamner d’avance. Que l’on se rappelle les procès moyenâgeux en
sorcellerie où chaque pauvre gens soupçonnés d’hérésie,
quoiqu’ils disent, se retrouvaient hissés sur le bûcher. Chouard,
ils veulent sa peau et en même temps celle des gilets jaunes qui
l’accompagnent.
Nous ne devons pas accepter cette censure, cette mise en
accusation permanente sur des fausses allégations, de simples
soupçons proférés de supposés mauvais sentiments, de supposées
mauvaises pensées, lorsque l’homme Chouard ne fait que de se
prêter naïvement au jeu d’une émission radiophonique dans
laquelle il est entré comme un mouton dans une bergerie où se
tapissait le loup. Son seul tord, peut-être, est de leur avoir fait
confiance.
Nous ne devons pas accepter que ce pays se transforme en
paillasson où les puissants s’y essuient les pieds.