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Commentaire de Christian Labrune

sur De l'hystérie climatique


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Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2019 09:56

si François Gervais publie ses doutes dans un revue avec comité de lecture, son étude sera prise en compte.

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@Garibaldi2
à la Page 230 de son étude, Gervais laisse la parole à Serge Galam, directeur de Recherche au CNRS et physicien à l’Ecole Polytechnique, dans son livre Les scientifiques ont perdu le nord, lequel pose que mettre en avant un consensus est un aveu d’absence de preuve. Citation de Galam :
« En tant que mathématiciens, nous avons toute légitimité pour répondre à la question suivante : si les travaux du GIEC étaient soumis pour publication à une revue scientifique honnête, seraient-ils acceptés ? La réponses est particulièrement simple : aucune revue de bon sens, de bon niveau, ne publierait de tels travaux. Les conclusions du GIEC sont en contradiction avec les observations ; les données utilisées sont délibérément choisies pour étayer les conclusions (au mépris de l’honnêteté scientifique la plus élémentaire), la variabilité naturelle des phénomènes est passée sous silence. Le rapport du GIEC n’obéit pas aux règles fondamentales de la recherche scientifique et ne pourrait être publié dans aucune revue avec comité de lecture ».
Gervais ajoute : « Si une discipline scientifique n’a pas de théorie validée par l’expérience, elle doit s’interdire d’annoncer qu’elle est capable de faire des prévisions ».

Fin des citations.
Tout ça rappelle fâcheusement, dans les années 80, les théories d’un certain Benveniste sur la « mémoire de l’eau » dont les expériences, pour lui très concluantes, n’avaient jamais pu être reproduites, et dans aucun laboratoire.
Par ailleurs, la situation actuelle est très éclairante : la semaine passée, on annoncait -réchauffement climatique oblige ! qu’on aurait à partir de lundi une canicule terrible et mortelle. Hier, je n’ai même pas fait tourner le ventilateur. Pas plus ce matin, et la nuit à Paris aura été plutôt fraîche. Gros mensonge dans tous les media : c’est particulièrement grave, dit-on, parce qu’on n’est qu’en juin. Or, les vagues de chaleur, les années précédentes, ont toutes coïncidé avec la fin du printemps et les premiers jours de l’été. Je me souviens très bien que dans les premières années du siècle, je ne partais jamais pour interroger les candidats à l’oral du bac sans emporter un énorme ventilateur parce que les salles d’examen étaient de véritables fournaises. Depuis, les été sont de moins en moins chauds. Quand la température extérieure atteint 35°, certes, il fait chaud, mais dans les années 50, c’était déjà assez constant pendant une ou deux semaines en juillet-août, mais il y a bien dix ans que la température, dans mon appartement, n’a jamais atteint 30°. En 2030, elle avait dépassé 38° !


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