@foufouille
Bonjour, mais TOUT va être supprimé, pour verser dans les privé. Cela se fait petit à petit, mais les lois qui vont êtres votées d’ici la fin de l’été ou à la rentrée forceront les français à sortir massivement dans la rue. Et je gage que les éructeurs sur les gilets jaunes ne seront pas les derniers. Qui seront ces français-là ?Lles classes moyennes qui trinquent le plus et qui n’ont pas encore rejoint le mouvement. Car l’Union Européenne a décidé d’éradiquer ces classes moyennes, à commencer par les PME. Ils n’en veulent plus, ils ne veulent que des grosses multinationales et tout est mis en place pour le rouleau compresseur.
Pour l’instant le pouvoir flagorne avec le résultat pipé des élections européennes, mais la real politic ce n’est pas ça, il faudra bien que Macron et son staff et ce qu’il y a derrière et au dessus assument la colère redoublée des français.
Et ce ne sont pas les lois liberticides qui empêcheront le peuple de réclamer son dû.
Je dis : le jour où les classes moyennes dites « éduquées » se soulèveront, et rejoindront les classes populaires défavorisées, il sera très difficile pour le pouvoir d’arrêter la colère, malgré la représsion.
Le premier mouvement des gilets jaunes c’était un mouvement — pour le moins — instrumentalisé par quelques têtes médiatisées — et peut-être même préparé de longue date, mais il a vite pris sa vitesse d’envol et a agrégé autour de lui tout ce que la France compte de diversités, un peuple n’est pas homogène nécessairement, ensuite le mouvement a essayé d’être récupéré par les partis politiques,les syndicats, cela n’a pas marché, les gilets jaunes ont continué de manifester, de se faire énucléer, de se faire martyriser, rien n’y fait, le mouvement continue, au grand dam des medias à la remorque du pouvoir qui parlent toujours d’essoufflement et divisent par 100 les chiffres de participants. Ce n’est pas fini, c’est la canicule et certes, il y a moins de participants qu’aux périodes antérieures, mais cela va redoubler d’intensité. Dès que ces lois vont atteindre ce que les américains appellent le « climax » !