@Eric F
“Pauvres”, “classes moyennes” et “riches” ne sont que les mots généralement et conventionnellement admis pour désigner chacun des segments de population constituant la société, dans la relativité de la richesse comme de la pauvreté.
Cette segmentation est fondamentalement constituée de 2 segments seulement, qui se partagent la richesse collective : les “pauvres” occupant la partie basse de la pyramide sociale et les “riches” en occupant la partie haute ; partie haute et basse étant délimitée par la médiane de la richesse collective de la population concernée. C’est ainsi que 14% de la population (les “riches”) se partagent la moitié de la richesse, l’autre moitié allant aux “pauvres”, qui représentent les 86% restant de la population, dont les pauvres profonds (1 à 2 milliards mondialement) se situant au niveau ou à proximité de niveau zéro de la richesse.
Vous pouvez voir à l’adresse ci-après mon article dans une version illustrée de schémas plus explicatifs : https://docs.google.com/document/d/1zaf8g5oOnn31v-pyjiNjBL5wLcYrT2PbKvZwum3BWqA/edit
ou encore visiter https://pyramidologiesociale.blogspot.com/ blog à caractère méthodologique présentant divers schémas illustrant mon raisonnement, lequel repose sur une sorte d’extrapolation de celui de Pareto appliqué au polyèdre bien particulier qu’est la pyramide (sociale).
Vous y verrez notamment la manière dont la catégorie sociale dite des “classes moyennes” peut être utilisée comme variable d’ajustement par ceux qui ne savent régler les problèmes d’inégalités sociales qu’en compressant arbitrairement le haut de la pyramide du même nom, sans se soucier de l’immuabilité de sa base.
Voir aussi, le cas échéant, pour davantage de détails, https://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com/