... Autrement dit : le fond du malaise c’est que les hyper-riches en sont arrivés à se concocter une économie sur mesure à eux, par eux, pour leur univers à part ... éco-nomie qui n’est bien sûr pas celle de l’entendement ’commun’ !
La vision classique des innocents larbins, c’est que la monnaie se « place » dans des « Entreprises » ou des « produits finassiers » ... mais à l’échelle des hyper-fortunes, le monde moderne est trop fluctuant et imprévisibles (malgré des prouesses et trésors d’astuces en statistique mathématique) pour des placements raisonnablement sûrs à long terme.
Toute monnaie ne pouvant tenir que par une confiance largement partagée par les populations, et par une rareté réservée à certains ... rien de plus logique que les hyper-riches aient choisi les oeuvres d’art comme monnaie-refuge.
Avec, cerise sur le gâteau pour quiconque prend le contôle d’une monnaie, l’avantage imparable de décider entre soi du taux de change de ce qu’on a soi-même décrété comme devant être adulé !
La boucle est alors bouclée lorsque la naïveté des populations a été attestée par un laxisme impensable devant la provocation de faire adorer dans des musées « d’art contemporain » rien de moins que de la vraie et authentique merde.
(en boîte de conserve, sous forme de « Cloaca », ... et pire !)