@Louise
Bonsoir, je maintiens le mot « anoné », bien qu’elle s’exprime clairement, je le reconnais. Je ne méprise que tout le tralala médiatique et la veulerie du grand public pour ne pas balayer de la main tout ce cirque où l’on voit la patronne du FMI, Lagarde venir à la rencontre de cette jeune fille instrumentalisée. Lorsque je dis « anoné » que j’aurais dû mettre d’ailleurs entre parenthèses, c’est pour appuyer le discours convenu que d’autres lui ont dicté et qu’elle répète mot pour mot. Qu’elle maîtrise l’anglais, il n’y a de la part d’une nordique aucune prouesse, cette langue est apprise et comprise dès la maternelle dans ces pays-là. Et l’objectivité justement est de déceler à travers les circonvolutions sémantiques tout ce que Greta répète et qu’après elle nous répétons tous comme la leçon incontournable apprise et lorsque je parle de piège, il est là et bien là. Ce n’est certainement pas elle qui a trouvé toute seule que les chiffres du GIEC étaient Incontestables. Et c’est là, bien là le coeur du problème.
Nous allons réellement vers une bouffonnerie généralisée. Combien d’adolescentes ou d’adolescents ont réellement un message sérieux à faire passer aux gouvernements et qui ne sont ni reçus, ni écoutés, ni pris au sérieux ? Et problèmes autrement plus graves à soumettre aux cercles de pouvoir qu’une fausse-question climatique.
Le mot climato-sceptique d’ailleurs est faux et n’exprime rien ! Personne ne remet en cause le « climat » puisqu’il s’agit tout simplement d’un phénomène naturel avec des variantes et des oscillations de températures allant du plus bas au plus haut sur le thermomètre. Le mot « climat » en lui-même ne veut rien dire. On ne se bat pas pour le climat. C’est là où nous pouvons nous rendre compte que les ploutocrates nous prennent pour des imbéciles. Et nous nous ne contentons pas de marcher, nous courons ! Par contre une réaction saine serait de remettre en cause la bande de vieux grigous qui viennent bille en tête, en s’abritant derrière une adolescente frêle d’apparence, pour imposer à terme, l’impôt sur l’air que nous respirons ou plus simplement dit : l’impôt carbone.