Le GIEC (ou du moins les résumés partiaux qu’ils sont tenus de publier à l’usage des gouvernements, et qui éliminent les nombreuses contestations internes) nous affirme que les variations solaires sont trop faibles pour influencer le climat.
Et il se concentre sur l’effet de serre et le CO2, avec entêtement et obstination.
Or il ne s’attache alors qu’à son activité lumineuse, et c’est vrai qu’elle varie peu (environ 0,2%).
Mais il néglige (volontairement ou pas ?) le lien assez fort entre le flux de rayons cosmiques solaires (RCS) et la température de la troposphère.
A la suite d’une activité triple certain jour de 2004, une tempête géomagnétique solaire d’une durée de cinq jours, « la troposphère s’est clairement réchauffée pendant environ 5 jours et la variation était de +12 K pour l’altitude correspondant à 750 hPa (hectopascals ou millibars). »
Douze degrés K, à activité lumineuse constante, c’est considérable.
C’est par ce biais, et non par la chaleur directe, que le soleil influencerait considérablement nos températures terrestres.
Faites-vous une idée en lisant ce rapport russe que je ne fais que résumer grossièrement :
https://www.science-climat-energie.be/2019/05/04/un-mecanisme-russe-pour-expliquer-le-rechauffement-global/
Je crois me rappeler que ces tempêtes solaires influent considérablement sur la formation des nuages (qui ont un rôle bien plus capital que le CO2, si du moins il en a un).