@Étirév
Peut-être qu’en plus de la montée en pissance — lapsus, pardon— de la bourgeoisie, le peuple a-t-il eu son mot à dire pendant la révolution, ou bien l’a-t-il encore car il possède, quand il n’est pas trop manipulé, ce que presque tous les autres ont perdu : le bon sens.
Le pouvoir corrompt.
J’entends une nouvelle expression : « être Hors-sol ».
Le bon sens exclut embrouilles, n’a pas prétention à dominer, phagocyter ;
Il ne suffit pas. Toute propagande de qualité peut, en réveillant les bas instincts au passage, créer une atrocité de masse ; l’ignorance de masse de même.
L’intelligence intellectuelle pour gouverner ! Quelle escroquerie ! Nombreux sont les terroristes, dictateurs, savants hitlériens et autres bourreaux issus des plus éminentes universités. Elle non plus ne suffit pas. Elle n’inclut pas nécessairement des éléments si nombreux qu’ils alourdiraient cette réponse déjà trop longue.
J’en cite un : l’empathie.
Comment avoir un pouvoir — positif et important— sur autrui sans se laisser dénaturer par celui-ci ? En travaillant ardemment sur soi pour acquérir, renforcer qualités et bien sûr abandonner, diminuer défauts au maximum pour, une fois élu, être et surtout rester clean.