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Commentaire de un des p’tite goutte

sur Lettre ouverte à M. François Asselineau, Président de l'UPR


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Un des P'tite Goutte un des p’tite goutte 20 août 2019 16:52

@Robin Guilloux
Merci pour cette réponse qui réchauffe mon (j’espère des) coeur(s).
J’ai beaucoup voyagé, au-delà du géographique, « dans » x spiritualités, religions, cherchant une sorte de dénominateur commun. Je ne me suis pas contenté de lire mais lorsque cela était possible, je me suis immergé. j’avais lu Lévi Strauss, à la mode.
Nous nous sommes mal compris ; je ne parlais pas de ce « gourouisme » larvaire vous concernant, mais de celui propre à tout groupe  ici il s’agissait de l’upr  porté par un idéal, lui-même incarné par un homme en particulier.
Rien d’inhabituel. Cela est quasi inévitable, de ce que j’ai vu et vécu.
Mais le contrecarrer est tout à fait possible, relève de la responsabilité de chacun dont François Asselineau (capacité à « s’observer » en profondeur, honnêteté, et surtout humanisme y compris à l’égard du voyou, de l’ignorant, du c*** en face de soi qui n’est pas foutu de penser comme moi, de comprendre qu’il se gourre grave).

  Comme chantait Brassens « mourir pour des idées, d’accord mais de mort lente » : je suppose qu’il pensait à tous les va-t’en guerre ; en tout cas ça s’applique très bien à ceux de 14-18, aux spectacles, chants créés loin du front pour motiver les troupes dans les tranchées.
  Bien sûr que promouvoir des idées est nécessaire, mais si, arrivant chez ma belle-mère qui, abimée par un métier physique, meuble sa solitude et son âge avancé par la compagne bfmtv, qu’elle croit fiable  « vu à la tété ! », pardon télé  , je tombe sur les trois motards renvoyés dans leurs pénates par des GJs et m’engueule avec elle parce qu’elle est endoctrinée puis me mets à la haïr pour sa bêtise...
Où va-t-on ? Je l’aime toujours beaucoup, elle est bourrée de qualités ...et m’insurge contre les innombrables fauteurs de troubles, de blagues contre les belles-mères. Pourquoi elles ?
Solennellement je profite de la tribune qui m’est offerte ici pour dire haut et fort : non, elles ne méritent pas cet acharnement.
Clin d’oeil. Vous avez mes salutations chaleureuses ainsi que vos contradicteurs attentionnés.


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