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Commentaire de Attila

sur UPR : Le Parti de l'Avenir de la France


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Attila Attila 30 août 2019 18:33

@McGurk
Le problème ne provient pas seulement des élus :
Avant les législatives de 2017, tous les journaux, toutes les radios, toutes les télés, aussi bien locales que nationales, ont parlé des malversations de Richard Ferrand aux Mutuelles de Bretagne.
Tous les électeurs étaient informés. Avec un électorat soucieux de la moralité de ses élus, un tel candidat n’aurait obtenu que quelques pourcents aux élections.
Il a été élu député avec 56% des suffrages exprimés.
Sa concurrente du deuxième tour a révélé que des électeurs lui ont dit qu’ils voteraient pour Richard Ferrand parce qu’il était ministre. Sous-entendu : en votant pour un ministre, même si on sait qu’il est pourri, on espère obtenir en retour des privilèges et des passe-droit.
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