@Eric F
Vous feriez mieux de rester dans le monde virtuel formaté que nos médias mainstream créent pour des gens comme vous.
Pour votre information il est connu qu’un feu d’hydrocarbures ne peut faire fondre de l’acier. Par exemple on réalise des études sur des grands feux d’hydrocarbures réalisés sur un plancher en acier, dans une installation unique en Europe où l’on étudiait aussi les feux de Sodium.
Vous faites un amalgame qui ne fait que démontrer votre souci de conforter les versions officielles.
Je ne connais pas tous les dessous de tous les attentats. Chacun nécessite une approche et des analyses spécifiques.
Mais j’ai pu constater que pour l’attentat de Strasbourg les doutes s’étaient exprimés sur les plateaux télé avec les « experts » autorisés.
Pour Charlie Hebdo il se trouve que je les ai suivis en « direct » sur internet. Parmi les éléments qui laissent à penser que ces attentats au Siège de Charlie ont été manipulés il y a eu la diffusion d’un enregistrement vidéo précisément réalisé avec une caméra fixe effectuant un superbe, si j’ose dire devant l’horreur, travelling, débutant par le meurtre d’un garde sur le boulevard et montrant le tueur regagnant la voiture de son complice arrêtée sur le boulevard désert. Cette vidéo a ensuite disparue. C’était un moment où les informations officielles parlaient de trois terroristes. Ils devaient être trois en effet, mais un jeune de 18 ans à fait faux bond au dernier moment. Il est aussi aller dans un commissariat dénoncer tout cela parce qu’il avait compris qu’il ne s’en sortirait pas vivant. Ce fait officiellement avéré a aussi été étouffé.....
Il y a aussi le suicide opportun d’un commissaire chargé d’une partie de l’enquête sur le moment. Peut on croire que l’on confie une enquête sensible à un grand dépressif ? Ne parlons pas de la carte d’identité opportunément oubliée, comme un écho du passeport retrouvé intact dans les ruines d’une tour du WTC...
Vous faites un amalgame qui n’a pas lieu d’être, mais il y a un point commun entre tous ces attentats, et l’affaire Mehra aussi d’ailleurs, c’est que dans la majorité des cas ils sont perpétués par des personnes bien connues des services spécialisés de la police et qu’il n’en sortent jamais vivants.