@Luniterre
l’UPR ne revendique ni l’abolition de la CSG ni même celle du CICE qui ne dépendent que du gouvernement français.
Avec les économies budgétaires prévues par l’ UPR, il y a de quoi financer le modèle social français ! Et avec le Referendum d’Initiative populaire, les Français pourront décider ce qu’ils souhaitent, dans tous les domaines.
Révision et réduction du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) à 4 milliards d’euros.
Économies budgétaires résultant de la réduction du millefeuille
administratif : 6,4 milliards d’euros par an. Économies sur le nombre de
députés nationaux : 38 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de députés européens : 45 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de sénateurs : 131 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de conseillers régionaux : 75 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de conseillers départementaux : 62 millions d’euros par an.
Économies sur le périmètre de la région (avant 1982) : 6 milliards d’euros par an.
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Économies budgétaires résultant de la sortie de l’UE : 13,6 milliards
d’euros budgétaires par an. Économies directes : 9 milliards d’euros
par an de déficit fiscal budgétaire (chaque année, la France contribue
pour 23 milliards d’euros au budget européen, et s’en voit restituer
14).
Économies sur les cofinancements et les condamnations pécuniaires : 4,6 milliards d’euros par an.
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Recettes budgétaires supplémentaires résultant du rétablissement du
contrôle des mouvements de capitaux : 20 milliards d’euros par an. Lutte
contre la fraude fiscale : 20 milliards d’euros par an (récupérés sur
un total de fraude fiscale estimée entre 60 et 80 milliards d’euros par
an), ce qui sera possible grâce à la sortie de l’UE et au contrôle des
mouvements de capitaux, seul outil efficace dans cette lutte.
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Économies indirectes pour l’économie française résultant de
l’allégement des réglementations et contraintes européennes sur les
administrations publiques et les entreprises : estimées à environ 38,7
milliards d’euros par an. Économies indirectes sur le coût d’application
des normes européennes pour les administrations publiques : 8,7
milliards d’euros par an.
Économies indirectes sur le coût d’application des normes européennes pour les entreprises : 30 milliards d’euros par an.