@Adibou. Tu oublies une autre propagandiste conforme à tes rêves : Naomi Oreskes.
Historienne, se dit-elle ? Où sont ses travaux sur les histoires des
climats ? Que sait-elle au juste hormis l’existence de l’ouragan Katrina de 2005 ?
Historienne
des sciences, se dit-elle ? Alors que sait-elle de l’histoire des
erreurs précédentes, et des processus de corrections ? Là encore mystère
total.
Où et quand Naomi Oreskes est-elle invoquée pour quelques travaux qui seraient d’histoire ?
Sa façon de frauder (Truth ! Truth ! Truth !) m’évoquait
irrésistiblement d’autres fraudeuses professionnelles
politico-universitaires, genre Louise Langevin qui assure avoir des
raisons sérieuses de dissimuler son prétendu corpus de sa prétendue
étude. Bingo ! Exactement la même façon de s’abriter sous le paranoiacally and terroristically correct à la mode :
She has also written on the under-acknowledged role of women in science, discussed in the prize-winning paper « Objectivity or heroism ? On the invisibility of women in science » (OSIRIS 11 (1996) : 87-113)
Noami Oreskes brandit bien haut dans son titre qu’au nom du Saint Office, elle est au service de la « Vérité » («
Truth »),
contre les incroyants qu’il faut tous brûler, au nom du Saint Office.
Mais où sont les études de Naomi Oreskes, en matière de physique de
l’atmosphère, de physique du rayonnement, d’océanographie et
oscillations océaniques, de physique du Soleil, de sédimentologie, de
physique des nuages, de géochimie, d’hydrologie, de néosynthèses
marines, d’érosion chimique des continents, de physiologie des sols, de
physiologie végétale, de géologie, de paléogéographie, de volcanologie
sous-marine, enfin tout ce qu’il faut pour être en état de distinguer «
Truth » de «
bluff », en matière de Pachauri-Jouzelo-religion ?
Bah
non ! Sa méthode pour distinguer le vrai du faux consiste à faire des
statistiques pour déterminer qui est vainqueur en nombre de
publications, et qui est vaincu. Ou autrement dit : qui détient les
comités de lecture, et qui en est exclu.