Faut tout de même une bonne paire de jumelles pour voir du canada sur les ronds points français…..Beaucoup de choses seraient à dire sur ce texte que j’ai parcouru en diagonale, mais je me suis demandé si l’auteur avait pas pris le giratoire à l’envers. « .. qui, finalement, ne se sera jamais transformé en mouvement d’insurrection populaire. C’est une plaisanterie. Quand commence alors le mouvement dit d’essence populaire ? A combien de yeux crevés, un indice de l’affolement de l’état…..Celui ci est. Inédit en fait depuis 68, a été spontané, et très difficile à circonscrire, tant il a brassé de gens différents, loin du portrait robot » bas du front provincial", que le gouvernement, dés le début, a tenté de médiatiser...L’auteur procède par clivage, entre bobos, et prolos, tentant de dégager un sens révolutionnaire. Ors c’est avant tout la notion d’injustice et d’absurde, qui a dicté ses acteurs. Sur fond abyssal de creusement des inégalités, ce sont les gens souffrant le plus qui se voient accablés, et pressurés, à travers cette fumeuse taxe carbone, pour lancer la dynamique. Hypocrisie et opportunisme du gouvernement, utilisant l’écologie à géométrie variable, pour taxer davantage la désertification, au lieu de l’aider. Cela rappelait la révolte des bonnets rouges sous louis quatorze. Le mouvement est loin d’être terminé, car les raisons qui l’ont développé sont toujours présentes.