@Jonas
Le chercheur qui, au long de sa vie s’est immergé dans quelques religions, dont
l’Islam, et a fait connaissance avec de nombreuses autres par les voyages, la
lecture, des rencontres, a fait de même avec des spiritualités comme le bouddhisme,
et quasi : hindouisme, taoïsme, animisme etc., a découvert des
révélations récentes inconnues du grand public… qui se revendique croyant - ce
qui reste d’ailleurs très vague -, ne tombe pas dans le piège stupide et
gamin, puéril :
(*) « Toi
te tromper ! moi avoir raison ! toi avoir tort ! ».
Nous
héritons, pour la plupart d’entre nous sur terre, d’une religion. Nous la
défendons, ou la rejetons, parce qu’elle est constitutive de notre identité,
même par son absence en terme de pratique donc.
D’autre
part, même en passionné sinon vrai chercheur universitaire, il lui apparait
évident qu’en constatant des différences entre les sources ou même dans les
écrits les plus fondateurs, ceux-ci ont tous, sans exception, subit les « dommages »
de l’histoire et sont donc altérés.
Une
grande partie des croyants, de nombreuses religions monothéistes entre autres,
n’accepteront absolument pas cette possibilité, avec arguments théologiques
patiemment inventés, assemblés siècles après siècles à l’appui. Je les renvoie à
la phrase (*)
Je
peux donc affirmer, à la lumière supplémentaire émergeante du point commun se
dégageant de toute sagesse : Allah n’a pas jamais exhorté à frapper les
femmes, ce ne peuvent être que des hommes qui ont faussé le « Texte
Sacré », comme ils l’ont fait ailleurs, prouvable historiquement par les
innombrables tergiversations sinon oppositions mortelles qui ont émaillé les
rédactions de plusieurs Corans, puis d’un seul. Des éléments de ce dernier sont
en contradictions d’ailleurs, avec les textes - coraniques aussi - découverts tout récemment, les plus anciens
connus à nos jours. Oui, je choque des Musulmans,
Cf.
phrase de cour de récréation (*).
Les Chrétiens
et d’autres religions ont, comme par hasard, suivi un chemin similaire :
dépréciation de la femme sous couvert de la « bonne pratique ». La
religion, employée, soudoyée à dessin de se prémunir de qui peut mieux que d’autres,
anticiper l’avenir, le portant potentiellement en soi : la femme.
La
femme qui, potentiellement encore, n’entretient pas un rapport de force avec
son futur enfant, mais de complémentarité. Rapport de complémentarité et
non de force, d’oppression-soumission entre les hommes, l’avenir.