@Aristide
Chez nous, les mêmes nonos arrivent par bande dans des camionnettes dans les bois autour des cols de Turini,
une bande de nonos ? 
moi j’y vais seul ( la plupart du temps) mais avec une moissonneuse batteuse ... 
PS : je ne suis plus énervé ... mais j’avoue que si tu avais été en face de moi ce matin tu prenais un pain ... de gauche ...
et ici on n’est pas dans une région de champignons comme dans le sud ou en Corrèze ou en Dordogne ... la plupart des gens ne les ramassent pas, ne les connaissent pas et ne les mangent pas ... et pour ce qui est de la vente il faut des circuits organisés, des ramasseurs, des collecteurs qui passent une ou deux fois par semaine avec des camions réfrigérés ... le cèpe, comme la plupart des champignons, est très fragile et nécessite un traitement rapide ... les ramasseurs ramassent tous les jours et seulement les jeunes, les nettoient et les mettent au frais en attendant le camion de ramassage qui passe à jour fixe ... aucun circuit de ce genre en Vendée ... les quantités sont trop faibles pour être rentables ... les champignons qu’on trouve en grande surface ou sur les marchés viennent du sud de la France ou les circuits sont organisés depuis des lustres ...
alors ton histoire de « bandes de nono » est une fable que tu as la faiblesse de croire, une fable d’un mec de la ville ... comme d’autres fables d’ailleurs ...