@Attila
Bonjour.
Précisez : le « macronien critique ».
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Quant aux « collabos » des nazis, il y en a eu dans toute l’Europe. Dans la Waffen SS, presque tous les pays occupés étaient représentés. Les flamands, les baltes, les tchèques, mais aussi les wallons ; les ukrainiens, etc., sans oublier les français avec la division Charlemagne.
Certains par antisémitisme qui a sévi dans toute l’Europe.
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Beaucoup par réflexe anti bolchevique.
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Exemple : Les anti communistes, y compris russes, ont massivement rejoint l’armée de l’ancien général de l’armée rouge Andreï Vlassov
contre Staline fin 1944.
Important : Le comité Vasslov a systématiquement refusé les bases antisémites qu’Hitler exigeait.
Méfiant, Hitler en a éparpillés un grand nombre sur le front Ouest. Effectivement, ceux restés sur le front Est sous l’autorité direct de Vasslov (qui n’ont combattu l’armée rouge qu’une seule fois sur les bords de l’Oder le 11 Avril 1945) se sont retournés ensuite contre les nazis. Ils ont sévèrement étrillé les SS d’Himmler sur le front Est et victorieusement Contribué
à la libération de Prague
contre la Waffen SS !
Systématiquement remis pas les alliés aux troupes soviétiques, ils ont tous disparu par pendaison, balle dans la nuque ou dans les goulags et mines Sibérie (1 million de soldats environ) en vertu des exigences de Staline à Yalta. Une poignée d’entre eux ont atterri... dans la légion étrangère française.
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Conclusion : les ukrainiens anti stalinien n’étaient pas tous nazis et les nazis sont ultra minoritaires en Ukraine comme en France.