Message à Mr Michel Onfray,
Le terme fascisme est un anathème qui dispense de préciser sa pensée tout en criminalisant la pensée de l’autre lorsqu’elle est patriote. Le vrai fascisme désigne un système politique italien qui appartient au passé. Nous ne désignons rien par ce terme et par conséquent nous ne participons pas à décrire le présent en l’employant. C’est précisément le but de l’adversaire. De plus, il sert au régime en place à fantasmer une histoire mythifiée de résistance courageuse depuis un siècle à ce « fascisme ». La famille Le Pen sert en France à maintenir ce fantasme et permet au régime de secouer cet épouvantail à chaque élection afin de pousser les gens à l’isoloir. Cela donne une caution à ce système qui se proclame démocratie.
Il est préférable de parler de totalitarisme plutôt que de fascisme. Dans ce cas-là, il est possible de parler de totalitarisme marxiste, de totalitarisme national socialiste, de totalitarisme républicain laïciste, de totalitarisme financier ou autre...
Les autoproclamés « antifascistes » sont les violents apôtres d’une idée personnelle de la tolérance, au service d’un courant majoritaire de gauche républicaine, et les serviteurs du totalitarisme financier actuel. Pour cela, ils jouissent d’une impunité politique de circonstances et se prennent pour d’authentiques résistants. Ils sont à la hauteur de l’imposture de cette démocratie. Quant aux associations communautaires, elles sont les sycophantes subventionnés de ce régime au profit de leurs intérêts financiers. Les uns et les autres participent au saccage de la France.
Quant aux « intellectuels » victimes que vous citez, ce sont des serviteurs zélés du pouvoir en place. Les vraies victimes de ce saccage de la France sont les Français, les patriotes et les chrétiens. Ils ne passeront pas sur les plateaux télés et le discours victimaire n’est pas dans leur culture.
Enfin il appartient à chacun de savoir qui sont les authentiques résistants à cette destruction organisée.
Respectueusement