Pénuries de talents ou concentration et automatisation du travail ?
* « Talent » est un emprunt au latin talentum, mot qui désignait un poids et une somme d’argent en Grèce.
Talentum était employé dans une parabole évangélique (« parabole des talents », Matthieu, XXV)
et a donné les sens figurés « état d’âme » et « aptitude ».
* pénurie : Étymol. et Hist.
1. 1468 « pauvreté, misère, indigence » (Har. prononcée par Juv. des Ursins, ap. Duclos, Hist. de Louis XI, t.3, p.298) ;
2. 1752 « défaut d’approvisionnement d’un magasin de l’État » (Trév.) ;
3. 1770 fig. pénurie de langage (Raynal, Hist. phil., IX, 5 ds Littré) ;
4. 1798 « manque d’une chose nécessaire » (Ac.). Empr. au lat. penuria « manque de vivres, disette », « manque (en gén.) »
* travail :
"First of all : what is work ? Work is of two kinds : first, altering the position of matter at or near the earth’s surface relatively to other such matter ; second, telling other people to do so. The first kind is unpleasant and ill paid ; the second is pleasant and highly paid
Pour ce qui est des activités salariées, rappelons qu’en France, elles ne se réalisent que dans le cadre officiel de contrats de subordination (difficiles à confondre avec un ’Contrat Social’ !)
>>>
Où est l’estimation démocratique permettant de légitimer l’a priori d’un consensus concernant ce qui serait reconnu par la ’Volonté Générale’
comme étant ’talent’ ?