Onfray, tout et son contraire.
Accro aux médias, il fera tout pour ne jamais en être exclu. Il mangera à toutes les gamelles médiatiques et idéologiques.
Onfray n’est plus qu’une bouche.
Syndrôme de tous ceux qui ont été « fait » par les médias auxquels ils doivent tout.
Sébastien, Onfray et combien d’autres ?
On ne manquera pas de trouver très instructif le comportement de tous « ces gens de la télé » qui, à la longue, n’existent plus - à leurs propres yeux et non aux nôtres - qu’à travers elle ; s’ils doivent la quitter, c’est toute leur conscience d’être au monde, conscience d’exister pour eux-mêmes, par eux-mêmes (présents à eux-mêmes) qui s’effondre ; c’est sans doute plus grave encore que la toxicomanie des toxicomanes pour lesquelles le manque n’est que physique, et psychique par ricochet seulement : Drucker, P. Sébastien…
Mais alors, est-ce parce que tous « ces gens de la télé » réaliseraient qu’il n’y pas plus ingrats et tête en l’air ( voire même amnésiques ?) que les téléspectateurs si prompts à les oublier tous ces animateurs-télé, un peu comme s’ils n’avaient jamais existés ? C’est fort possible car, à la télé, manifestement, on y passe pour mieux se faire oublier.
Dans l’auto-célébration en permanence, Onfray et consorts passent beaucoup trop de temps à nous expliquer à quel point ils ont des idées sur tout pour que ce soit véritablement le cas.
Onfray ne pense rien, c’est devenu une évidence.