Augmentation du salaire minimum des 372% en 13 ans, croissance économique autour de 5%, chute de l’analphabétisme, réduction de 50% du salaire du président et des hauts fonctionnaires, réduction de la pauvreté et des inégalités sociales, augmentation du revenu et du nombre des retraités, accès aux soins médicaux gratuits : On aimerait avoir Evo Moralès « dictateur » que Macron « démocrate » comme président !
Ces treize dernières années, le PIB a bondi de 9 milliards, à plus de 40 milliards de dollars, le salaire réel a augmenté, le PIB par habitant a triplé, les réserves de change sont à la hausse, l’inflation n’est plus un problème, et l’extrême pauvreté a chuté, passant de 38 % à 15 %, soit une baisse de 23 points. À titre de comparaison, sur la même période, l’extrême pauvreté n’a diminué en Uruguay et au Pérou que de 2,3 % et de 12 %, respectivement.
Tout le monde s’accorde à dire que le changement s’est amorcé avec la nationalisation des hydrocarbures en 2006.
Williams Kaliman, général et commandant en chef de l’armée bolivienne et le commandant général de la police nationale, le général Vladimir Yuri Calderon, ont lâché Evo Morales. Ces 2 militaires sont formés aux USA.
Ceux qui ont réussi le coup d’état actuel en Bolivie sont les descendants de colons au grand dam des indigènes de la république : c’est ça le Grand Remplacement !