Je vous mes un extrait d’un article en court de modération, mais cette extrait exprime ma pensée sur le sujet :
En ligne directe
avec les petit-bourgeois, la classe moyens, les gilets jaunes, qui
poussent des cris de frayeur avant leur disparition. Espérant
accaparer tout ce qui n’est pas eux, écologie, précarité,
véganisme, mais tout ce que l’autre a de plus vil, beauferie,
racisme, antisémitisme, complotisme.
Gilets jaunes voyant
par le fait accompli que la démocratie bourgeoise sait parfaitement
s’accommoder de la répression et calibre parfaitement sa justice,
au gré des urgences. La bande à Tarnac en sait quelque chose, les
amis d’ultra-gauche qui savent pondre des livres, faire du
spectacle de rue, mais dans l’incapacité totale à aligner trois
mots sans bafouiller pour exprimer leurs idées, allez comprendre.
Le 15 novembre n’est
pas Mai 68 qui a charrié des petits intellectuels étudiants, des
maoïstes à la marge du maoïsme, des syndicats comme toujours
vendus à leurs intérêts. Mais il y avait tout de même le
prolétariat étudiant ou ouvrier dans la rue. Elle fut une
demi-mesure de révolte quand on le regarde sous le prisme de
l’histoire, en Allemagne, en Espagne ou en Italie. Une révolte
fiscale ne sera jamais une révolte prolétaire, même s’ils
espèrent nous vendre des salades d’eau tiède en forme de ric, en
version nuit débout amélioré ; qui s’est sitôt transformé
en cours des miracles, entre beauferie, merguez et alcool. L