@Traroth
Comme dit précédemment, lire et comprendre ce qu’on a lu sont deux choses très différentes. A l’évidence, vous n’avez toujours pas compris.
La « démocratie » n’est pas synonyme de « trou sans fond » où on peut faire ce que l’on souhaite. Il y a des procédures à respecter, sinon c’est soit l’anarchie soit la dictature.
C’est aussi la négociation permanente entre les différents acteurs sociétaux. Votre « RIC », c’est un gros suppositoire à enfoncer dans le cul, certainement pas un diagnostic pour mettre fin aux souffrances des Français.
Aucun dialogue, une application directe venant de personnes que je ne connais pas et qui imposent leurs « solutions ». D’ailleurs, dans leur « charte », beaucoup de solutions intéressantes sont en réalité d’une extrême difficulté à mettre en place. Mais comme il n’y aura pas, via cette mesure, de négociations, ça va vite virer au cauchemar.
Quoi qu’il en soit, même si on parvenait à voter cette chose immonde, il faudrait toujours des représentants. Alors cette rhétorique ne pourra marcher qu’un temps court car il faudra, de toute manière, instaurer des mécanismes de surveillance et de contrôle.
Je vous rappelle quand même que si nous n’avions pas été aussi passifs durant quarante ans, nous n’en serions probablement pas là. Il y a bien des pays qui ont réussi plus ou moins à une démocratie plus juste/équilibrée (ex : les pays nordiques), où ces comportements/délits graves sont fortement sanctionnés.
Je n’ai rien à « proposer »/« exiger », ce n’est pas mon rôle et mes défis sont bien ailleurs pour le moment. Je mets juste en garde contre les dérives faciles à prévoir de ce que vous, qui rabâchez une idée en vogue depuis plusieurs décennies, ne préférez pas considérer. Plus facile de « vouloir à fond » un truc plutôt que de réfléchir aux implications de court-circuiter le processus normal et naturel de la démocratie.
Qui plus est, le nombre d’ordonnances (équivalents du RIC sans volonté du peuple) au cours des trois derniers mandats à explosé. Ce qui a donné lieu à de nombreuses catastrophes/scandales qui n’auraient peut-être pas existé en assemblée.
Pour finir, la base d’une action de retour à la normale devrait commencer par le limogeage des parasites qui ont corrompu nos institutions. Suivi de la mise en place d’un organe de surveillance et d’alerte des citoyens, d’un plan de relance de l’Etat/institutions et de l’économie.
Parallèlement, un retour aux sources des véritables partis (pas des trans-partis) est absolument nécessaire. La gauche doit véritablement défendre le social, pas un mélange de tout et n’importe quoi. La droite doit être le pendant de la gauche sans verser dans le sarkozisme/macronisme.
Sans repère clair, plus de vote et donc plus de démocratie. Soit la « démocratie » par défaut actuelle en somme.
Le respect de la parole donnée, de l’électeur et de sa situation sont un préalable impératif au rétablissement de notre Etat de droit.
11/12 03:45 - Pierre JC Allard
@Pierre JC Allard Je veux ajouter que l’on peut choisir d’être ou de ne pas être (...)
11/12 03:34 - Pierre JC Allard
@McGurk Je ne comprends pas comment on peut se dire partisan de la démocratie et demander que (...)
27/11 10:59 - olivier cabanel
27/11 08:41 - nono le simplet
27/11 08:37 - olivier cabanel
@Yanpi merci de vos encouragements... depuis quelques semaines je suis en butte avec quelques (...)
21/11 17:38 - Traroth
@McGurk J’ai beau répéter que personne n’a la légitimité pour imposer « des (...)
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