@Ouam
Wiki ... c’est mimi ... Cherche autre chose. De plus, tu n’a pas compris ce que tu cites.
.
La Charia, telle que les identitaires veulent faire croire n’existe pas ... la preuve, chaque pays musulman a ses propres lois différentes, les unes des autres.
Le mot « charia » ... veut dire voie ...
Mais comme je l’ai tjrs dit ... les identitaires, les zmouristes et les islamistes ont le même logiciel ... sauf que zmour, en est des programmateurs. Si tu piges pas, fais toi aider. /// Dis toi que t’es trop fort toi aussi ... que j’ai autre chose à faire qu’à répondre à ces trucmuches ... crois ce que tu veux, pas de souci.
.
Pour les autres ...
Ce que la charia n’est pas
(Courrier de l’Unesco)
.
Extraits ...
.
Le mot « charia » revient de
manière récurrente dans le discours actuel, véhiculant un ensemble de
déterminations fantasmatiques : régimes de terreur, châtiments
corporels, répudiations des femmes, revendications extrémistes de
groupes terroristes, droit archaïque des premiers âges de l’islam,
ensemble de sanctions incompatibles avec les droits de l’homme, etc.
Il est essentiel de comprendre que la constitution de la charia,
postulée comme instance transcendante et anhistorique, sert avant tout
les régimes les plus autoritaires pour fonder la permanence de leur
pouvoir politique sur une loi immunisée contre tout changement.
Étymologiquement, « charia » veut dire en arabe « avenue », «
ouverture », « voie ». Comme le souligne le professeur Wael Hallaq de
l’université Columbia : « La charia était autant un mode de vie et une
façon de voir le monde qu’un ensemble de croyances. » (Autrement dit, la « bonne voie à suivre » ...)
Plus près de nous, le théologien égyptien Ali Abderrazik (1888-1966)
attire notre attention sur le fait que la charia est une indication
spirituelle, sans aucune orientation législative, et que, par
conséquent, il appartient aux hommes de constituer, sur des fondements
autres, la manière d’organiser leur cité.