Macron 1er roi de
France n’avait peut-être pas faux lorsqu’il se targuait de
lancer devant un parterre de médias partisans que les ouvrier(e)s
étaient des illettré(es). Aujourd’hui plus qu’il y a un demi
siècle en arrière, puisque les petites gens ne lisent pas ils
s’abreuvent d’informations ou plutôt devrais-je écrire de
désinformations télévisuelles. En écoutant les informations
télévisuelles on dirait des radios crochet en interviewant des
badauds. On est en droit de se demander bien d’où ils peuvent bien
aller les pêcher. ? Quand un journaliste bien mis sur lui pose
la question piège et provocatrice à un charbonnier. Ça va ?
Pas trop galère les transports ce matin ? Alors que l’autre
qui s’est levé à 2h du matin pour aller au charbon se gèle les
couilles en attendant son train. Et ce dernier de répondre par cette
fameuse et redoutable réflexion ressassée à chaque mouvement.
Comme un citoyen malheureux pleurnichant en voulant se rendre comme
un bon petit soldat à son travail pour cirer les pompes de son bien
aimé patron. Il suffirait pourtant de faire du co voiturage. Mais
non le français est trop égoïste il ne veut pas salir les sièges
de sa belle auto. LES SYNDICATS NOUS PRENNENT EN OTAGE ! Elle
est belle la phrase non ? Mais savent-ils au moins ce que
signifie le mot otage ? J’aimerai bien voir la gueule de celui
ou celle qui a le toupet de se croire pris en otage d’être
réellement pris en otage par des groupes demandant une rançon dans
des conditions de détention déplorable nageant dans leur pisse et
leur merde avec un croûton de pain à bouffer et la menace de se
faire descendre. L’otage des transports lui ou elle sont mécontents
mais ça ne les empêche pas de bouffer, de regarder la tv voire même
de baiser à ce que je sache ? Bon bref. Revenons à notre
menteur professionnel et mis en cause dans un conflit d’intérêt.
Je cite. Monsieur retraite delevoye. Non monsieur retraite nous ne
voulons pas bosser jusque 67 ans comme le veut Bruxelles !
Non nous ne voulons pas ‘une retraite par capitalisation !
Nous savons, nous génération du CNR (conseil national de la
résistance) et des 30 glorieuses, que la sécurité sociale a
toujours été la bête noire du patronat et que tous les
gouvernements surtout de droite mais pas seulement se sont efforcés
de casser la belle dame. C’est vrai, que l’argent de la sécurité
sociale est reversée intégralement aux malades, aux retraités aux
familles etc... et que ce bel argent comme le voudrait le patronat
depuis sa création ne peut pas être ponctionner et utilisé pour
jouer en bourse comme cela pourrait se faire avec les assurances
privées d’où la nécessité de casser la sécurité sociale pour
les boursicoteurs et les patrons qui pleurnichent à longueur d’année
en se plaignant qu’ils payent trop de charges sociales. Qu’ils se
rassurent l’empire français est maintenant géré par un banquier
qui les comprend bien.