Mise en page détruite...
« Phototrophie et photosynthèse »
Les présupposés standards sont des canulars, et des canulars malveillants.
Respectivement :« Les gaz polyatomiques sont des gaz à effet de serre » est un mensonge flagrant, mais je n’ai pas encore trouvé le temps de construire un article complet : il faut réexpliquer toutes les bases, à des ignorants outrecuidants, tout boursouflés de leur guerre civile contre les instruits.
Premièrement, une molécule de gaz polyatomique qui a absorbé un photon I.R. à sa fréquence de résonance mécanique n’a aucun moyen de le réémettre, aux basses températures de l’atmosphère. L’air ne peut que se réchauffer localement par collisions moléculaires ; aussi le gradient thermique est un peu moins raide que s’il était purement adiabatique. Très très peu. Le seul effet sensible est de relever légèrement l’altitude des nuages et de la tropopause.
Seules les couches d’aérosols, eau ou silicates, essentiellement les nuages, peuvent jouer le rôle de couvercle de serre. Encore faut-il examiner leurs coefficients d’émissivité spectrale (le complémentaire de l’albédo)...
Le jour, le même gaz polyatomique a un effet anti-serre : il bloque les photons solaires à sa fréquence de résonance. Ceux-là n’arriveront jamais au sol. Notamment aux résonances 4,3 µm du CO_2 et 2,6 µm de l’eau.
Convertir les longueurs d’ondes en fréquences.
Fréquence (en hertz, ou cycles par seconde) = célérité de la lumière dans le vide (en mètres par seconde) divisée par longueur d’onde dans le vide (en mètres par cycle).
4,3 µm <==> 70 terahertz.
2,6 µm <==> 115 terahertz.
Or ce sont les fréquences qui sont physiquement significatives pour les résonances moléculaires en vibration.
Second canular : « Bouh ! Il y a un réchauffement climatique ! C’est vilain et c’est anthropique ! Pis ça va faire des déserts ! ». Dans toutes les fluctuations climatiques précédentes, les périodes chaudes ont au contraire été plus pluvieuses, et nettement bénéfiques. Bien au contraire des glaciations, qui ont désertifié. La fraude consiste à remplacer une évolution dans le temps par un déplacement dans l’espace. Dans le temps, si la mer est plus chaude, elle évapore davantage, il pleut davantage sur les continents, et les déserts reverdissent. Dans l’espace, les propagandistes climastrologues nous font nous imaginer dans le Sahara et le Sahel, dans les hautes pressions de föhn redescendant des cellules de Hadley. Passez muscade !
Troisième canular : il y aurait trop de CO_2 atmosphérique, et ce serait caca.
La réalité est juste le contraire : nous sommes encore en tragique pénurie de dioxyde de carbone atmosphérique, du point de vue de 98 % des espèces végétales terrestres. Elles attendent le retour à 1200 ppm et plus. Entre temps, elles s’adaptent à la pénurie en écarquillant leurs stomates, ce qui les rend fort fragiles aux sécheresses.
Canular spécifique à cet article : le trophisme et la thermodynamique de la « protéorhodopsine » ont mystérieusement disparu. Ça consomme quoi ?
Et ça rejette quoi ? Mystère et boule de gomme...
12/12 00:46 - Le Gaïagénaire
10/12 20:03 - JL
@Fifi35 j’ai lu « éloge de la fuite » mais il y a si longtemps que je ne me souviens (...)
10/12 19:37 - Fifi35
@JL Non JL, ce n’est pas ce que je voulais expliquer. La dominance n’est pas (...)
10/12 19:31 - JC_Lavau
Mise en page détruite... « Phototrophie et photosynthèse » Les présupposés standards sont des (...)
10/12 18:08 - nono le simplet
@doctorix Le sel emprisonné dans la glace ne peut s’en extraire. et pourtant il le fait (...)
10/12 17:16 - pemile
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