Remettons les pendules à l’heure concernant le vote de 2005. Il
n’y a pas eu que les français qui ont voté contre le traité de
Lisbonne. Il serait bien de rappeler que les irlandais et les
néerlandais avaient aussi rejeté ce traité fait sur mesure pour
les ultra riches. Aujourd’hui les effets se font ressentir plus que
jamais de cette politique du « marche ou crève » à
l’encontre des peuples rendant de plus en plus vulnérable les
classes dites moyennes, celles qui passent constemment à la lessiveuse quand elles ont encore la chance d’avoir un
emploi. Les entreprises ont bien compris que la main d’œuvre était
devenue trop chère ici bas, et que grâce au traité de Lisbonne passé en
force par le bon docteur sarkozy en février 2008, les entreprises
n’avaient plus qu’à aller piocher dans les pays, là, où la main
d’œuvre étrangère se fait payer à coup de bols de riz et en
fermant à tour de bras les industries en France et de mettre sur le
carreau des millions d’ouvrier(e)s ou de faire le chantage à l’emploi utilisé par les entreprises pour faire avaler toutes sortes de couleuvres
aux salarié(e)s ; comme l’augmentation du temps de travail, les
salaires au rabais, le travail le dimanche etc... Quant aux services publics européens ou "services
d’intérêt général"( SIG,) correspondent à une conception
européenne des services publics. Fondée sur la libre concurrence
libre et non faussée, l’Union européenne a par ailleurs dû
encadrer les activités marchandes visant à satisfaire l’intérêt
général et conçu le statut de service d’intérêt économique
général (SIEG). Cette riche idée pondue et dictée a été pondue
par la directive de Frits Bolkestein. Il ne faut pas alors s’étonner que les entreprises publics se privatisent (EDF-GDF, les cantines scolaires, la DDE, ADP bientôt etc...
Bolkestein est un néerlandais alors que son peuple avait rejeté le
traité de Lisbonne en même temps que les français. Cela prouve
bien que tout était ficelé avant même que le référendum des peuples des 28 pays
européens n’était qu’un leurre.
Depuis 2005 les
peuples n’ont de cesse de manifester contre cette construction
européenne le brexit en est la preuve puisque ce sont les petites
gens qui rejettent cette politique ultra libérale en se tournant vers l’extrême droite. Sortir de l’Europe pour revenir
à l’état nation. Oui cela peut-être possible à condition de faire
comme l’Allemagne ré industrialiser le pays en favorisant les PME
PMI. Favoriser l’agriculture locale et les circuits courts. Pour ce
faire, il faut commencer par mettre un grand coup de savate au cul de la FNSEA syndicat de
l’agriculture intensive et empoisonneuse collabo de la politique
libérale qui ne se soucis pas des endettements des paysans. Ceux là même, qui sont endettés faute de ne plus pouvoir rembourser leurs dettes se suicident.
L’Europe craque de tous les côtés et c’est à se demander si
les ultra libéraux ne sont pas les marches pieds des partis
d’extrême droite. Où pire les ultras libéraux sont des fascistes
avançant masqués sous couvert d’être des démocrates. Si ce
n’est pas le cas alors c’est à s’y méprendre.