@Khal
Je vous propose une autre typologie. Il y a le syndicalisme réformiste radical = hard (CGT) et le syndicalisme réformiste modéré = soft (CFDT). Le syndicalisme est par essence RÉFORMISTE en ce sens qu’il bataille pour adoucir l’exploitation de l’ouvrier = jamais pour l’ABOLIR.
LA différence entre l’Allemagne — la France — l’Italie — le Royaume-Unie etc. ce sont les proportions RÉSISTANCE VERSUS COLLABORATION. Cette proportion n’est pas inscrite dans les gènes des travailleurs mais dans l’histoire des luttes ouvrières et de l’économie
Ainsi l’Allemagne s’étant rapidement industrialisée et non pas en industrie du luxe (comme la France) mais en industrie lourde — a disposé de masses de capitaux lui permettant de mieux (sic) rémunéré une catégorie de ses travailleurs — y compris petits-bourgeois que le grand capital prussien a su en contre partie mobiliser pour encadrer les masses prolétariennes dans deux guerres d’agression mondiales et ils sont en train de leur refaire le coup présentement sur le thème de la « TRANSITION ÉCOLOGIQUE » alors que la FRANCE qui s’est fait souffler (fermeture ou acquisition d’entreprises industrielles) son secteur industriel lourd — de base — se retrouve avec une industrie du luxe = payante en ce moment — à la veille de la crise — mais qui sera la première à s’effondrer lors du prochain crash boursier — financier, ce qui plongera la classe ouvrière française dans la détresse — agressive — et que le syndicalisme réformiste radical rameutera via des manifs ridicules et inefficaces — tapageuses et futiles.
Alors les ouvriers comprendront que seul le blockage du cycle de valorisation du capital fait mal aux capitalistes et permettra de les terrassés = De même en Allemagne en Italie au Royaune-Uni et au Canada États-Unis
Merci pour ton post