@ JL,
si la mondialisation n’est en définitive pas autre chose que la
dissolution des souverainetés par la marchéisation de tout, alors
démondialiser c’est repolitiser.
Merci de fournir le décodeur ! Sinon, ce que j’ai lu ( le reste est réservé aux abonnés), c’est un tissu d’âneries. Comparer la dette de la Grèce avec le Japon, qui est un pays souverain, et où la dette appartient aux Japonais, c’est juste comparer des chats avec des pommes.
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Lordon vit sur une autre planète que l’ Union européenne... « Il y a quelque chose qui va se trouver mis en accusation le 5 décembre et c’est un monde »
"Un monde selon lui
vicié par « la célébration de la marchandise », « la féerie de la
consommation », « la prostitution marchande du service public » et sa
« dévolution à l’empire de la marchandise ». Il qualifie ce monde
d’« univers inhumain »."
Les millions de Français en dessous du seuil de pauvreté seraient bien volontaires pour consommer... ! Lordon est un nanti qui n’a pas de problème de fin de mois. Et impasse complète sur les Traités européens, et toutes les mesures qui ont dérégulé la finance depuis les années 70/80. Il ne sait pas ou il joue les idiots ?
se méfier de l’hypertrophie du principe national qui a pour nom « nationalisme ».
L’UPR ne parle jamais de nationalisme, qui est la haine des autres pays et de leurs habitants (cf Cadoudal, c’est le spécialiste maison), mais de liberté, d’indépendance et de souveraineté.
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On peut donc supposer, si souveraineté c’est pareil que nationalisme, que Lordon, à la Libération, aurait été désespéré que la France retrouve sa souveraineté ??
Vous voyez où ça mène de tout mélanger ?
Il faudrait mettre un peut d’ordre dans vos concepts.
« A mal nommer les choses, on aggrave le malheur du monde », disait Camus.
Mélanger la souveraineté avec le nationalisme ; de Gaulle, les Résistants, avec Mussolini, c’est du grand n’importe quoi.