Les prédictions du GIEC sur l’évolution du climat reposent sur plusieurs
hypothèses qui se conditionnent les unes les autres, en chaîne. Au début
de la chaîne, on trouve l’évolution de la proportion de dioxyde de
carbone dans l’atmosphère, sous l’action du flot de dioxyde de carbone
entrant.
Cette prédiction a été modélisée sous la forme d’un modèle de
décroissance avec 3 constantes de temps et 4 coefficients.
https://unfccc.int/resource/brazil/carbon.html
Ce modèle présente plusieurs défauts tout à fait rédhibitoires. Le
premier est qu’il ne s’applique qu’au molécules anthropiques, celles
introduites par l’homme dans l’atmosphère. Les molécules naturelles,
celles émises par les forêts la nuit, par l’activité des termites, ou par
les feux de forêts auraient un destin différent. C’est physiquement une
hypothèse stupide.
Un autre défaut est que la courbe de décroissance du CO2 dans
l’atmosphère dépend du point de départ. Si l’on applique le modèle en
commençant, disons en 1958 et que l’on calcule la décroissance modélisée,
par exemple en 1998, on obtient un résultat différent que si on commence
en 1998 avec la valeur obtenue à laquelle on est parvenu en partant de la
première date. Le modèle n’est même pas cohérent avec lui-même.
La « science » du GIEC est donc basée sur une prémisse sérieusement
défectueuse. Et pourtant, elle conditionne pratiquement tout le reste de
l’alarmisme prêché par cet organisme.