Proclamation du 18 Juin
Proclamation du 18 juin 2015 actualisée au 22 aout
2015
Le « CONSEIL NATIONAL TRANSITION DE FRANCE » est,
depuis le 18 juin 2015, date de sa proclamation, l’organe gouvernemental
officiel de la France ayant vocation à la représenter conformément aux règles
et usages du Droit international.
Sa légitimité est établie formellement par les
textes fondamentaux de la constitution française qui indiquent clairement que
toute violation de la souveraineté nationale, sous quelque forme que ce soit,
oblige à une réaction du peuple représenté par n’importe quel citoyen ou groupe
de citoyens ayant décidé de revendiquer au nom du peuple tout entier.
Il est donc l’émanation du peuple français
instauré et composé à l’initiative de tous les groupes de citoyens, hommes
femmes et enfants, déterminés à libérer la France du pouvoir politique
oppressif et illégitime exercé par des individus ou entités félons trahissant
son histoire, ses valeurs fondamentales et sacrées, son honneur et sa réputation
aux yeux et au cœur des autres Nations.
C’EST POURQUOI,
1. RAPPELANT la Déclaration universelle des droits
de l’Homme et du citoyen qui est reconnue par l’ensemble du peuple comme la
base fondamentale de la constitution française.
1-1. RAPPELANT que le 29 mai 2005, le Peuple de
France s’est prononcé par référendum, à près de 55% contre le Traité
Constitutionnel Européen (TCE) ; que des dirigeants français normalement élus
pour respecter ce choix démocratique et valablement exprimé, n’auraient pas dû ouvertement
bafouer cette décision en imposant ce traité de manière perfide sous le nom de
« Traité de Lisbonne » malgré le refus clair et précis des citoyens.
2. CONSIDÉRANT que depuis le 13 décembre 2007, cet
acte de forfaiture suprême a délégitimé tous les individus, partis et
institutions impliqués, qui ne représentent donc plus le peuple français et ne
sauraient le faire à compter dudit jour.
2-1. CONSIDÉRANT que cette trahison du Peuple
français a été systématiquement aggravée au cours des années qui ont suivi, par
des choix scélérats et de véritables infamies envers la Nation sur au moins
quatre aspects fondamentaux de sa souveraineté :
2-1-a. Sa force économique, par la vente
injustifiée, aux plus mauvaises conditions du marché et au pire moment, d’une
part importante de ses réserves d’or garantes de stabilité monétaire (six cent
tonnes d’or), de ses industries stratégiques et de ses richesses nationales.
2-1-b. Sa force armée, en la mettant sous le haut
commandement de l’OTAN et au service inadmissible et félon, car incontrôlable,
de puissances étrangères.
2-1-c. Son indépendance législative, en faisant
supporter à toutes les activités économiques et sociales françaises des normes
établies par une Union Européenne que les Français ont majoritairement et
démocratiquement refusées ; normes qui ont déjà provoqué de graves dégradations
économiques, sanitaires, sociales et culturelles, et menacent les générations
futures.
2-1-d. Ses libertés publiques et ses droits privés
inaliénables, en bafouant la Déclaration universelle des droits de l’Homme et
du citoyen qui est pourtant l’un des trois textes visés par le préambule de la
Constitution française du 4 octobre 1958 à valeur constitutionnelle confirmée
par le Conseil constitutionnel français depuis 1971. Ses dispositions font donc
partie du droit positif français et les placent au plus haut niveau de la
hiérarchie des normes en France.
CETTE PROCLAMATION SOLENNELLE ET EN VIGUEUR
rappelle, garantit et protège les droits naturels constatés et imprescriptibles
de tous les Français ; ces droits étant la liberté, la propriété, la sûreté et
la résistance à l’oppression. L’article 11 de la Déclaration de 1789 devant ici
être rappelé : « La communication des pensées et des opinions est un des droits
les plus précieux de l’Homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer
librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés
par la loi. »
FORCE DONC A L’URGENCE ABSOLUE D’UNE RÉACTION DU
PEUPLE DÉSORMAIS ÉVIDENTE !
3. DÉNONÇANT et mettant le Peuple en garde contre
les lois anticonstitutionnelles autorisant l’espionnage généralisé des
communications privées des citoyens et restreignant leur droit d’expression et
donc la liberté, qui sont ainsi non seulement une violation gravissime des principes
énoncés dans cette Déclaration, mais conduisent clairement à l’établissement
d’une dictature où la souveraineté a pu se retrouver confisquée par un petit
nombre de dirigeants et de groupes nantis ou corrompus à la solde d’intérêts
hostiles, incompatibles fondamentalement avec le bonheur de tous les Français.
4. CONSIDÉRANT que la Souveraineté Nationale est
inaliénable et imprescriptible et que toute atteinte à ce principe engendre une
violation intolérable à la Constitution en vigueur.
4-1. CONSIDÉRANT qu’il convient, qu’il est
légitime et qu’il est sacré d’unir toutes les forces contre « un pouvoir exercé
illégitimement, arbitrairement ou dictatorialement », lequel expose toute nation
à un danger vital par l’ignorance, l’oubli, le mépris et la corruption.
4-2. CONSIDÉRANT le péril absolu que représente
pour les Français et les générations futures le nouveau Traité Transatlantique
(TAFTA) que le pouvoir illégitime a négocié en secret et a signé sans l’accord
des Français (référendum) et sans les informer de ses conséquences gravissimes
sur leur vie économique, sociale et sanitaire .
Et aussi :
5. Vu l’état de dégradation de la société
française dans tous les domaines :
5-1. Au vu de l’affaiblissement international de
la France, tant sur le plan économique que militaire
5-2. Au vu de la perte flagrante de souveraineté
du peuple français sur son territoire
5-3. Au vu du danger des faillites économiques et
sociales qui résulteraient du Traité Transatlantique,
LA PROCLAMATION de ce « Conseil National de Transition »
a donné en ce jour symbolique du quatorze juillet deux mil quinze au peuple de
France, le moyen unique et l’occasion historique de recouvrer sa souveraineté.
Cette proclamation a été annoncée en cet autre
jour symbolique qu’est le 18 juin 2015 par ce préambule appelant à la
mobilisation générale de tous les Français et de tous les défenseurs et amis de
la France.
La reconnaissance officielle par la France d’une
entité représentative similaire ayant été validée par monsieur Nicolas Sarkozy
à propos de la Libye ; le texte établi à cette occasion ayant été par la suite
admis juridiquement par les pays de l’axe OTAN/USA qui l’ont validé, il n’y a
donc pas lieu d’en nier la validité diplomatique, ni d’en discuter le fondement
légitime."
(...)