@JL
Objet partiel, ou transitionnel...Nous sommes loin de ces arabesques élégantes, à la Lacan, où les intervenants s’écharpent entre « signifiant » et « signifié » avec les propos de Françoise Dolto, quand nous nous référons à ces déclarations « prises en dehors du contexte »..... De quelle contexte peut se prévaloir notre psychanalyste quant elle raconte ses histoires ? Quelles sont les circonstances atténuantes ? Était elle ivre ?...Les années 70 à décharge ?...Zéro ! Non pertinent. J’y étais...La convenance était la norme en ces matières. Personne ne soupçonnait c’est vrai la grande perversité des curés. L’éducation nationale se contentait de « muter » ses brebis galeuses. Quant à la culture, elle ne mutait personne. L’art et l’insolence étaient la règle. Y avait plus de carré blanc ! Matzneff en faisait des livres semble t’il…. Et Françoise signait les pétitions à la chaine pour défendre son monde, comme une concierge en bas de l’escalier. ..S’’est elle fait avoir en dépit de son propre grés ?...Comme Richard Virenque dans un domaine plus trivial, celui de la pédale. Revenons à ces déclarations, prises dans le texte du canard : « Il conviendrait d’expliquer à l’enfant, que très souvent, c’est lui qui s’arrange pour être battu. C’est sa manière de capter l’attention parentale. Il faudrait donc lui apprendre à ne pas se laisser battre, mais aussi à ne pas se laisser tripoter par sa mère.
Certaines sont écœurantes, dégoutantes avec leurs enfants. Leur soi disant amour est de l’inceste. Il y a des mères qui laissent leurs enfants suçoter leurs nichons toute la journée ! Des enfants de 22 mois….. »
Il fallait le dire, et nous voilà rassuré. Elle ne parle en rien de pédophilie