Au
cours des siècles, les matérialistes et humanistes ont voulu
s’affranchir de la Parole Divine et façonner un homme nouveau en faisant
table rase du passé, ce qui a donné naissance à de multiples courant
idéologiques.
On peut citer principalement l’humanisme, le
protestantisme, le jansénisme, la franc-maçonnerie, le communisme, le
nazisme qui ont tenté depuis des siècles de détruire l’Esprit Saint de
l’Église catholique.
Cet esprit humaniste a trouvé son aboutissement dans le concile Vatican II.
En
ayant la faiblesse de suivre ces courants de pensée matérialistes, les
dignitaires du concile Vatican II ont considéré qu’il était
nécessaire de réformer le dogme, car il ne correspondrait plus au
contexte historique et à la modernisation des sociétés, liée au progrès
technique, économique et social.
Le concile Vatican II
prétend que le dogme institué par les Papes depuis des siècles peut
maintenant être modifié au gré des vents, des modes et des courants
idéologiques du moment, il n’y aurait donc plus de vérité révélée par la
Parole du Christ.
Or,
le dogme catholique ne peut être réformé, car l’Église est en dehors du
Monde terrestre, c’est la cité de Dieu, son rôle est de guider les
hommes vers la voie du Christ, et ne pas céder aux diverses idéologies
impies créées par l’homme, qui le détourne du chemin de Dieu, et donc du
Salut.
Monseigneur Lefebvre dévoile l’imposture du Concile Vatican II.