Proposition pour une définition universelle du con : (*)
Sauf exception confirmant la règle, doit être considéré(e) comme un(e)
con(ne) (**) tout individu dont le degré de conscience, faute d’évolution depuis
l’enfance, a stagné voire, pour certains, régressé jusqu’au stade bucco/annal.
Commentaires :
- Comme en
biologie, il n’existe pas de génération spontanée en matière de connerie,
c’est bien avec les jeunes cons formatés par la cellule familiale et/ou
l’environnement social de leur jeunesse, que la société fabrique aussi les
vieux cons ;
- La
connerie n’a rien a voir avec l’origine ethnique ou même l’appartenance à une classe sociale, aussi
démunie soit elle, on peut même constater statistiquement que c’est dans
les milieux sociaux les plus fortunés, qu’on trouve la plus forte
concentration de cons ;
- Un con
restant un con, l’instruction ne le change pas fondamentalement mais le
rend plus malfaisant qu’il ne l’est originellement, il faut donc suivre le conseil de feu M. Audiard et ne jamais
instruire un con ;
- Compte
tenu que c’est dans cette catégorie sociale que la société recrute ses
dirigeants, notamment en occident, il ne faut pas s’étonner que le monde où nous vivons
devienne de plus en plus con, preuve si besoin en était que la connerie peut être aussi contagieuse. . .
(*) A débattre et toute ressemblance avec des personnes existantes ne peut qu’être accidentelle et le fruit du hasard.
(*) D’entre les cons, ne jamais oublier les connes car elles ne sont pas de reste.