Super article, réfléchi, intelligent (enfin un groupe de gauche qui réfléchi !). Il y est évoqué l’émergence d’une alternative politique antifasciste, patriotique, populaire et écologiste. Ouf ! Enfin la gauche cesse de considérer les patriotes comme des fascistes !!! Ouf ! Enfin on peut parler frexit sans être taxé d’être d’infectes nationalistes ! Oui aux 4 sorties évoquées !

Il y a encore des choses à évoquer mais on peut commencer à s’unir contre notre ennemi commun : la bourgeoisie.

Bon, d’abord on tombe la classe sociale qui tient le pouvoir et après on pourra se chamailler, genre avec ce qui suit :

Perso, je suis UPR. Tout ne me sied pas dans ce mouvement mais c’est ce que j’ai trouvé de mieux. J’aimerais quand même comprendre ce que vous entendez par frexit progressiste. Le progrès est pourtant l’ennemi de la vie. Aujourd’hui, la Réaction, c’est le parti du progrès. Par exemple, le féminisme. Il est évident qu’il faut l’égalité homme/femme mais les discours féministes aujourd’hui n’ont d’autre fonction que de nous faire accepter les problématiques capitalistes genre la différence de salaire h/f, qui est un mythe (voir aussi ici), ou encore les violences conjugales (voir ici aussi) qui ne sont qu’une façon de diviser la main d’oeuvre exploitée (parce que leur ressort est la misère sociale et non la différence h/f comme ces petites-bourgeoise de féministes l’affirment en coeur avec le pouvoir bourgeois). Quand on essaye pas tout simplement de faire passer les hommes pour les seuls pervers de cette société malade (voir aussi ici). Dans le même ordre d’idée, si le progressisme est là pour nous faire accepter la PMA ou la GPA, défendues par ceux qui veulent marchandiser le vivant, comme l’exigent les multinationales, vraiment, on ne va pas être d’accord, même s’il faut aller manifester, pas de bon coeur à vrai dire, avec ceux de la Manif Pour Tous qui votent pour des salauds comme Fillon...

De même avec les migrations. Ne pas comprendre qu’elles sont organisées par le capital pour nous désorganiser est une honte issue de la bienpensance de gauche. Etre contre les migrations ne signifie pas être contre les migrants mais juste dire que le sens de leur présence ici est d’étendre le marché en affaiblissant notre identité (aïe, un gros mot !... pour les gauchistes. Sauf que quand il n’y aura plus d’identité, nous serons vraiment dans un régime totalitaire. Ca tombe bien, on y est presque...) donc nos capacités de résistance face à un pouvoir centralisé.

Bref... D’abord on tombe le régime fasciste en place en France et en Occident (car c’est là que sont principalement les fascistes, dans les arcanes du pouvoir bourgeois), après on discute...